Petit journée entre papa et Fiston [PV Papounet]

On était bien Samedi aujourd'hui. Le jour où ni Haley ni toutes les autres personnes de sa famille travaillent, il aurait pu aller rendre visite à tout le monde le petit Jamie c'est bien vrai ça, mais non il ne voulait pas car pour lui, aujourd'hui, c'était vraiment une journée très spéciale qui allait se dérouler. Celle où James Lucas Scott se retrouvera tout seul pour une journée totalement complète, avec son papa qu'il aime tant. Qu'est ce qu'un garçon de son âge peut demander de plus à part passer une journée entière avec le papa que l'on aime et que l'on admire tant ? Tout simplement rien d'autre. Jamie c'était même levé tôt et tout seul pour pouvoir être prêt quand son papa sera lui aussi près de son côté pour la journée qu'ils allaient passés tous les deux entre papa et fiston une journée que Jamie rêvé maintenant depuis longtemps pour qu'il puisse se refaire comme avant l'accident de son papa qui lui a couté de se retrouvé en chaise roulant pendant un petit moment, enfin, maintenant celui ci fait de la rééducation et tout cela avait l'air de mieux se dérouler pour lui pour pouvoir refaire ce que son fils revoulé. Enfin, reprenons tout simplement le fil de notre petit histoire ....
Une fois que Mini Scott fut prêt ainsi que Nathan, il se dirigèrent vers le lieu où ils allaient passé leur journée tous les deux comme de grands hommes pour bien s'amusé : Le River Court . Un endroit que Jamie Jame n'oubliera jamais tout simplement parce que celui ci avait passé toutes les journées avec son papa qu'ils resteront d'ailleurs gravé à jamais dans sa mémoire pour toujours.
Ils étaient enfin arrivée tous les deux. Jamie regarda son papa puis il lui souria tout en ne prononcant aucun mot pour le moment, laissant apparaître dans ses petits yeux un magnifique contentement de se retrouver à nouveau dans cet endroit avec la personne qu'il admire tant, son père. La journée qu'il allait passé avec celui ci était sûr d'être merveilleuse, comme toutes les autres que celui ci à fait avec son papa.
Tout aller pouvoir, maintenant, à cet instant même, commencer ...... C'était partie pour une nouvelle journée ....

Cela faisait bien une semaine entière que Nathan Scott préparait cette journée ; ce samedi qui promettait de rester graver dans leur mémoire durant de longues années. Ce serait la première véritable journée qu’ils se réservaient afin de passer du bon temps et de réaliser tous les projets, les plus farfelus comme les plus réfléchis, qui leur passaient par la tête. Cette semaine avait dû se faire longue pour Jamie qui, même s’il insistait drôlement, se voyait essuyer un échec à chaque fois qu’il demandait un renseignement ou un simple indice concernant cette journée. En effet, pour plus d’effets, Nathan avait préféré taire toutes les idées qui lui étaient venues à l’esprit. Ce serait une surprise. Qu’il espérait agréable pour son champion. Les quatre mois durant lesquels le jeune homme s’était retrouvé en fauteuil roulant, ils n’avaient pas partagé le moindre petit instant de bonheur ou simplement de rire. Néanmoins, depuis que Nate avait retrouvé le moral, il tentait de passer le plus de temps avec son fils. Par ailleurs, il sentait bien que ce dernier en avait besoin. Sa mère, de qui il était très proche, venait de commencer son emploi d’enseignante et, qui plus est, aidait Peyton dans son label ; devenant la productrice de ce dernier. Lorsqu’elle rentrait, le soir, Jamie était déjà couché ou il était sur le point de le faire. Nathan ayant besoin de temps pour sa rééducation, ils avaient décidé d’engager une nounou. Carrie fit sa grande apparition dans leur vie. Malheureusement, pouvait-on dire, ils avaient pris une mauvaise décision. James s’était rapidement attaché à la jeune femme, allant même jusqu’à la surnommer « maman » par erreur. Et puis, ce fut au tour de son père de tomber dans les filets de la nounou. Passant le plus de temps possible avec son fils, il partageait donc ce même temps avec Carrie qui, au commencement, se montrait agréable et de très bonne compagnie. Les choses s’étaient, pourtant, envenimées jusqu’à ce que la jeune femme fasse ouvertement des avances à Nathan. Pensant à son fils qui semblait être totalement en admiration face à elle, le jeune homme ne l’avait pas arrêtée et Hales avait fini par assister à une scène des plus compromettantes, alors qu’il ne s’agissait que d’un malentendu. Très rapidement, leur couple s’était dégradé et Nathan avait, enfin, fini par virer Carrie, en lui demandant, par très poliment, de sortir de leur vie. Depuis ce jour-là, Nate tentait alors de divertir James comme il le pouvait ; tentant de lui cacher les difficultés que ses parents enduraient dans leur couple. Cependant, il se doutait qu’avec la malice dont il faisait preuve, il s’apercevait de quelque chose. D’où cette journée... Non seulement elle était là pour qu’ils puissent s’amuser ensemble, mais il y avait également pensé pour permettre à son fils de lui parler, s’il en avait besoin. Après tout, Jamie ne s’était jamais gêné pour lui dire ce qu’il pensait et, pour tout avouer, Nate tenait beaucoup à ce qu’il continuait. C’était toujours mieux que de se terrer dans un profond silence et garder ses sentiments pour soi.

Posant un pied sur le River Court, Nathan baissa la tête pour regarder Jamie qui semblait ne plus tenir en place. Avec un sourire amusé par cette petite pile électrique de quatre ans, Nate tendit le bras, afin de lui passer le ballon de basket qu’il avait pris avec lui. Ils continuèrent d’avancer sur le terrain, en silence, le jeune homme continuant d’observer son fiston. Les étoiles qu’il lisait dans ses yeux étaient plus scintillantes que jamais et Nathan ne pouvait en être que plus heureux et bouleversé à la fois. Il s’en voulait d’avoir perdu quatre mois à boire et à se montrer passif envers sa famille ; le petit garçon, qui marchait d’un pas énergique devant lui, n’avait pas mérité un tel traitement. A cette pensée, Nate ralentit légèrement le pas mais, très rapidement, James le rappela à l’ordre, lui lançant un regard bourré de sous-entendus. « Tu me suis ? », avait-il l’air de dire. Ce simple regard eut le pouvoir de le ramener sur terre, en cette journée qui s’annonçait fabuleuse en tout point. Arrivés devant la table en bois qui ornait le terrain depuis plusieurs années, Nathan souleva son fils, qui portait toujours le ballon de basket, dans les airs afin de l’asseoir sur cette fameuse table. Quelques secondes plus tard, il s’installa à ses côtés et tourna la tête afin de le regarder.

- Alors Jim-Jam, par quoi on commence, lança-t-il en jetant un coup d’œil autour de lui. Profite et propose ce que tu veux, cette journée est la nôtre !

Elle était enfin arrivée cette journée que celui ci attendait. C'est vrai que son papa pouvait le confirmait tout comme sa maman et sa nounou qu'il l'avait vraiment attendu essayant toujours de faire avancer les heures plus vites pour pouvoir arrivée surtout beaucoup plus vite au jour qu'il attendait maintenant depuis un moment. Le jour où celui ci allait pouvoir recommencer à passer des petites journées avec son papa comme il le faisait avant l'accident de celui ci. C'est vrai qu'il s'était ennuyer le petit Jamie Jam depuis que son papa ne pouvait plus trop lui garder du temps pour pouvoir jouer comme il le faisait, ça lui avait vraiment énormément manqué. Enfin bref, le principal était que tout cela pouvait maintenant recommencé et qu'il allait être de nouveau le plus heureux des petits garçons en pâssant rien qu'une nouvelle journée avec son papa. Il lui souria tout en continuant d'avancé à l'endroit où son papa l'avait emmené, puis quand celui ci le porta pour pouvoir l'asseoir sur la table qui était implanté là maintenant depuis très longtemps, il lui souria tout en le regardant de ses petits yeux qui pouvait montré toute la joie qu'il avait d'être de nouveau présent dans cette endroit. Il écouta son papa lui parler avant de pouvoir lui répondre une fois qu'il allait avoir finit de prononcer ce qu'il aurait voulu prononcer. Il lui répondit donc tout en lui souriant et en attrapant le ballon de basket que son papa avait pris :

Je sais pas du tout. Tu n'aurais pas une idée mon piti papounet que z'aimeuh fort ?

Il lui souria tout en lui faisant sa petite tête de chien battut. Vous voulez savoir pourquoi il la faisait maintenant celle ci ? Bah pour vous dire il ne le savait même pas lui même mais il pouvait tout simplement dire qu'il avait envie de la faire. Il lui souria ensuite et se mit à rire tout en essayant de chatouiller son papa.

Le jeune père ne put retenir un rire lorsqu’il remarqua le sourire que son fils lui adressa, une fois confortablement installé sur la table en bois. La malice de son regard, les étoiles scintillantes parsemées dans ses yeux clairs ; rien, ni personne ne pourrait résister bien longtemps face à un tel visage d’ange. Et, pourtant, James Lucas Scott était loin d’être un petit ange. Heureusement pour lui, ainsi que pour ses parents, il était terriblement malin et trouvait toujours réponse à tout. Réponse à tout et moyen de se sortir des situations dans lesquelles il se mettait, parfois, à force de vouloir tout connaître et savoir. Lorsque Nathan regardait ce petit champion, il décelait cette curiosité dans ses yeux et dans son sourire. Et, à chaque fois, l’expression de son visage lui faisait se souvenir à quel point il ressemblait à sa mère. Ses yeux n’étaient, certes, pas teintés de la même couleur, mais il y découvrait les mêmes étoiles, la même malice. Cependant, cela faisait des jours, des semaines ou même des mois qu’il ne les apercevait plus. Le regard de la femme qu’il aimait s’était comme éteint et il n’attendait qu’une chose : qu’il se remette à briller... Ses habituelles lubies devenaient lassantes. Nathan ne pouvait penser à Haley sans qu’il ne se sente coupable de tout ce qui leur arrivait et sans qu’il n’espère voir leur famille se recomposer pour en former une plus belle et toujours plus unie. « Je sais pas du tout. » Le jeune homme reporta son attention sur son fils et sourit, haussant un sourcil. C’était bien la première fois qu’il avait le droit à une telle réponse. Mais, lorsqu’il vit James attraper le ballon qu’il tenait entre les mains et lui sourire de toutes ses dents, il comprit, qu’en réalité, Jamie avait des projets bien plus sérieux que de demander à son père s’il avait une petite idée sur la question. Nathan haussa lors les épaules, décidant de jouer le jeu du petit garçon et, pour finir, hocha la tête en signe de dissentiment. Et, soudain, James se mit debout sur la table et s’approcha dangereusement de son père qui, comprenant que ce bonhomme allait chercher un moyen de le chatouiller, l’attrapa au vol en éclatant de rire.

- Okay, okay. J’ai une idée, avoua-t-il comme s’il tentait d’échapper au supplice que James lui réservait. Et si tu me montrais c’que tu sais faire ?

La question était posée comme un défi et, dès qu’elle fut formulée, Nate posa son fils sur le bitume du terrain de basketball, après avoir passé une main dans ses cheveux clairs afin de les ébouriffer. Le regard que James lui adressa suite à ce geste le fit rire à nouveau. La réparti de ce dernier l’épatait de plus en plus et il ne pouvait s’empêcher de se demander si Jamie n’était réellement âgé que de quatre années et non de quelques années de plus. Son fils tenait toujours le ballon de basket, sous le bras, comme s’il tentait d’imiter Skills, Lucas ou Nathan, à l’époque où il ne se passait pas un jour sans qu’ils ne se croisent sur ce terrain. Lors de sa dépression, le jeune homme avait interdit au petit garçon de toucher à un ballon de basket devant ses yeux. Il se sentait tellement mal et détruit qu’il s’était fait passer avant sa famille, avant son fils qui lui avait prouvé des centaines de fois qu’il désirait que Nate se reprenne et qu’il redevienne un véritable père. A présent, le jeune homme regrettait de s’être réveillé un peu tard, de ne pas avoir pu partager les moments que James, Lucas et Skills avaient passé sur le River Court, à apprendre au petit bonhomme ce qu’était un bon lancer franc. Mais, désormais, il était là et c’était probablement le plus important aux yeux de Jamie.

- La réputation des entraineurs des Ravens est entre tes mains Jamie, lança-t-il avec un sourire.

Jamie attendait que son papa lui réponde pour pouvoir ainsi faire ce que son papa lui aurait proposer de faire. Il le regarda tout en attendant toujours que celui ci réponde. Comme celui ci n'avait vraiment pas l'air de vouloir lui réponde il voulait accentuer sa réponse en se mettant debout sur la table en bois étant vraiment près à vouloir le chatouiller, mais il se fit vraiment avoir quand il vit que son père l'attrapa au vol une fois et qui le posa par terre tout en lui ébourriffant ses petits cheveux de garçon de quatre ans qui resembler déjà étrangement à celui de père. Il le regarda tout en éclatant de rire pusi il écouta se que celui ci voulait lui porposer quand il se mit à parler. Il le regarda tout en ayant le ballon de basket dans ses petits bras comme Skills lui avait appris tout simplement pour pouvoir épater les filles qui auraient pu l'entourer pour tout simplement commencer à faire ses plans dragues, même si celui ci lui avait bien préciser qu'il n'avait simplement que quatre ans et non plus comme celui ci l'aurait pu imaginer en entendant le parler que celui ci avait déjà. Et oui, il tenait bien ça de sa maman qui avait pour nom Haley James Scott et qui était professeur d'Anglais au Lycée de Tree Hill, lelycée où celui ci à failli passer sa petite tête lors de la remise de diplome, enfin bref beaucoup de gens connaisse son histoire étant donner que beaucoup de monde parle de lui, alors cela ne sert vraiment à rien de vous remettre cela dans la tête. Il le regarda donc tout en écoutant la proposition de son père qui consister tout simplement à montrer ce que celui ci savait faire avec un ballon de basketball. Il regarda son papa tout en jetant ensuite une regard sur le ballon puis il le regarda de nouveau avant de pouvoir lui dire de sa petite voix :

Tu es sûr de vouloir que je te montre ce que parrain et oncle Skills mon appris à faire ?

Celui ci préférait tout simplement demander si il avait vraiment le droit d'en faire, car depuis un petit moment, plus précisément depuis l'accident de son père, il n'avait vraiment pas le droit de toucher à un ballon de basket quand celui le regardait où venait le voir ou encore de parler de baket ou de ballon de basket. Alors pour éviter encore une fois d'être frustré et de se mettre à pleurer quand celui ci le surprenait à jouer avec un ballon de basket, il préférait tou de même posé la question cela était beaucoup plus prudent. Il attendait toujours, planté devant son père maintenant sur le bitume du terrai, comme celui ci venait de le descendre de la table, que celui ci réponde à la question, avant de vouloirjouer au jeu qui le passionner déjà malgrès ses quatre années.

Plusieurs mois auparavant, les journées comme celles-ci étaient très présentes. Elles se déroulaient plus d’une fois par semaine, en réalité. Et, mieux que tout, Haley accompagnait les deux garçons et ils partaient tous trois à l’aventure, d’après le petit garçon. Et Nathan, autant que Jamie, appréciait ses journées et ses moments en famille. Il se souvenait que, lorsqu’il avait appris qu’il avait toutes les chances d’entrer dans une équipe de première sélection, il s’était promis de ne jamais faire passer sa passion avant ses journées. Nate s’était personnellement engagé à respecter ce petit rituel et, même avec les matchs et les entrainements, il s’était juré de réserver une journée à passer en famille, trainant dans la ville à la recherche d’un glacier afin de tendre une crème glacée au chocolat à Jamie et de le voir sourire ; de rire en le voyant se recouvrir de chocolat en quelques courtes secondes. Ces journées. Il avait gardé le souvenir de chacune d’elles. Très souvent, assis dans son fauteuil roulant, devant une des nombreuses fenêtres de la résidence Scott, Nate s’était remémoré ces journées. Les unes après les autres. Il les avait toutes revécues comme s’ils partageaient ces bons moments sur l’instant. Le jeune homme s’était terré dans un profond silence et avait fait preuve d’une indifférence et d’une passivité effrayantes. Et c’était terriblement contradictoire, lorsque l’on savait ce qu’il avait éprouvé. Dès l’instant où ses yeux se reposaient sur son fils, il revivait le jour de sa naissance, il voyait le sourire de Hales, il entendait sa voix annoncer au parterre d’étudiants, de professeurs et d’amis qu’elle allait avoir son bébé, alors qu’elle n’avait même pas fini son discours. Leur bébé. Leur fils. Et dire que Nathan avait manqué quatre mois de sa vie en buvant et en ressassant les souvenirs d’une époque, bien que merveilleuse, terminée. Révolue. Le jeune Scott était conscient qu’il ne pouvait rien rattraper. Cependant, il avait espoir que, père et fils, ils pourraient former des souvenirs que jamais ils n’oublieraient, l’un et l’autre. Le temps perdu était perdu. Cela ne signifiait pas que tout était perdu, pourtant. Nate ne l’avait pas compris immédiatement mais, présentement, il en était parfaitement conscient et c’était une force. Il avait aperçu les dessins de son fils, il avait posé les yeux sur les trophées qu’il avait rassemblés dans sa penderie. Jamie était fier de son père et, en retour, Nathan n’avait jamais été aussi fier de quelqu’un que de son fils. Le jeune homme sourit, se souvenant que s’il était là, debout, en ce moment précis, c’était bien grâce au petit bonhomme qui lui faisait face. « Tu es sûr de vouloir que je te montre ce que parrain et oncle Skills m’ont appris à faire ? » Le sourire que Nathan arborait disparut, laissant place à une expression d’incompréhension. Mais il réalisa rapidement la raison qui avait poussé Jamie à lui poser une telle question. C’était quelque peu douloureux de constater que, même après quelques parties de basketball dans le jardin de leur maison, le petit garçon doutait encore de la capacité de son père à accepter le fait qu’il puisse jouer au basket. En effet, il lui avait totalement interdit de toucher à un ballon, lors de sa dépression. Mais depuis qu’il s’en était remis, Nathan pensait avoir tout réglé sur ce point. Il constata donc que ce n’était pas le cas. Plissant doucement les yeux, soufflant calmement, le jeune homme s’approcha de son fils et s’accroupit afin de se trouver à sa hauteur. Il prit le ballon orange que James tenait entre ses mains et haussa doucement les épaules, prenant alors la parole d’un ton rassurant.

- Je sais que je vous ai dit, à ta mère et à toi, que je ne voulais pas que tu joues au basket. Tu sais, j’étais triste à cette période, James. Mais c’est fini. Alors oui, je suis sûr de vouloir voir ce que ton oncle Lucas et Skills t’ont appris à faire, conclut-t-il en lui rendant le ballon. Et puis, il faut bien que je vérifie qu’ils ne t’aient pas montré n’importe quoi, ajouta-t-il avec un rire en se relevant.

C'est vrai que Jamie ne s'étais pas rendu compte sur le coup de ce qu'il venait de dire mais c'est vrai que le petit se posé toujours des questions ayant peur que son père se fache comme il l'avait fait du temps de sa dépression quand Jamie touché à un ballon de basket ou parler tout simplement du sport qui commencer tout simplement déjà à le passionné malgrès l'âge qu'il avait, mais, il avait dû faire face à la tentation de jouer quand son père le regardait. Il avait vraiment essayé et avait quand même finit par y réussir. Quand son père lui avait dire de jouer ua basket celui ci avait vraiment été très hésistant peur de la réaction de Nate. Mais, après la remarque de son père, à l'instant même, il l'écouta attentivement avant de pouvoir lui faire un petit sourire léger, et de reprendre le ballon. Il alla tout d'abord chercher le mayo de Skills qui lui avait donné qui était à l'arrière de la voiture, le mis puis revenu vers son en courant tout en lui souriant aussi. On pouvait vraiment apercevoir le bonheur que Jamie Jam avait de pouvoir jouer au basketball devant son père, la personne qu'il admirait le plus au monde. Il le regarda, s'abaissa pour pouvoir prendre le ballon qui était entrain de rouler sur le terrain de basket tout près du fleuve. Il regarda une nouvelle fois son père, lui souria tout en montrant les magnifiques petites étoiles qu'il y avait dans ses yeux à se moment précis, puis il ouvrit un petit moment après, sa petit bouche pour pouvoir dire à son papa avant de commencer à montrer ce qu'il avait appris pendant l'absence de son papa :

C'est partie alors papa, ze vais ta montrer, ze suis le plus fort.

Il courrut tout en faisant rebopndir le ballon à ses pieds. Il se dirigea vers le panier tourna avec le ballon puis il shoota et marqua son panier. Il repris ensuite le ballon qui était revenue à ses pieds après avoir passé dans le filet du panier. Il courrut vers son père puis il lui souria tout en sautant avec le ballon dans ses mains et il le regarda tout en lui disant vraiment très heureux.

Tu as vu tu as vu ! J'ai marqué un panier !

Nathan n’en voulait absolument pas au petit garçon de douter. Il comprenait le fait que tout cela soit déstabilisant pour lui ; tout semblait s’enchainer et arriver si rapidement. Lui-même était parfois dépassé par les évènements et ne parvenait pas à restituer les bons éléments à leur place. Leur petite famille était passée par des moments terriblement difficiles, ces quatre derniers mois et, lorsque tout semblait rentrer enfin dans l’ordre, un nouveau chamboulement fit irruption dans leur vie. Mais seuls Haley et Nathan étaient conscient de ce nouveau problème dans leur couple, ils ne voulaient surtout rien laisser imaginer à James, afin d’éviter de le faire souffrir. Pourtant, le jeune homme était conscient que plus ils retardaient l’échéance du jour où ils lui annonceraient que plus rien n’allait entre eux, et plus leur fils souffrirait. Mais il avait encore espoir que ce jour n’arrive jamais et qu’ils n’aient, de ce fait, de blesser Jamie pour l’instant. Evidemment, le petit garçon était loin d’être bête et son père se doutait bien qu’il avait situé un certain problème, mais il n’en connaissait pas les raisons et c’était le principal. Il s’était réellement attaché à sa nounou et la dernière chose qui lui était nécessaire était de constater que cette femme était la cause de toutes les discordes entre ses parents. Quittant ses pensées, le jeune homme reporta toute son attention sur son fils qui semblait examiner chacun de ses traits, chacune de ses réactions. N’était-il toujours pas convaincu ? Avec un sourire, il lui adressa un signe de tête en direction du panier de basket. S’il ne l’était pas, Nathan s’arrangerait pour qu’il comprenne qu’il avait le droit de jouer et qu’il était terriblement fier de son petit garçon, de cette force de caractère qui lui avait permis de surmonter les épreuves des derniers mois. Jamie Jam se retourna soudainement, arrachant un regard interrogateur à son père qui se demandait ce qu’il faisait. Lorsqu’il le vit ouvrir la porte de la voiture familiale, il comprit qu’il avait oublié une chose primordiale pour jouer au basket. Son maillot. Son oncle Skills, comme il le surnommait, le lui avait offert tandis que Nathan était toujours en dépression, dans son fauteuil roulant. Depuis, il l’avait déjà vu arboré ce tee-shirt et rien ne le rendait plus heureux que le sourire qui se dessinait sur le visage de son fils lorsqu’il lui montrait fièrement le numéro sur ce maillot. « C’est partie alors, papa... » L’intéressé acquiesça alors, avec un sourire et croisa les bras avec un air faussement sceptique lorsque le petit lui annonça fièrement qu’il était le plus fort.

- Le plus fort ? demanda-t-il en lui adressant une petite grimace. Je ne demande qu’à voir ça, ajouta-t-il avec un sourire amusé.

James fit alors rebondir le ballon avec entrain, ce qui tira un léger rire à son père, qui observait ses moindres mouvements. Le garçon se mit ensuite à courir et Nathan se demanda comment il y parvenait avec un maillot qui faisait trois sa taille. Très rapidement, il arriva devant le panier, se plaça devant ce dernier et la balle s’éleva avant d’atterrir dans le panier. Quelle surprise ! S’il s’attendait à cela...

- Wow ! Tu es encore meilleur que ton oncle Lucas, fit-il d’un air moqueur. Moi qui pensais que je devrai te porter... Si elle était là, ta mère serait fière de son champion, souffla-t-il avec un sourire. Après quoi, il passa sa main d’un geste furtif dans ses cheveux couleurs sable, les ébouriffant doucement. Tout comme je le suis.

Jamie était vraiment fière que son papa était content de ce qu'il venait de faire. Tout cela pouvait se remarquer sur l'attitude de Jamie Jam sur le terrain qui se situait près du fleuve où lui et son papa étaient depuis maintenant un petit moment. Il courrait comme un fou partout tout en ayant son t.shirt sur lui, il faut même dire qu'il avait quand même un peu de mal à courire mais il y arrivait quand même. Il arriva ensuite devant son papa, se mit de façon pour pouvoir effectuer sa galipette finale à chaque fois qu'il marque un panier.
Et oui comme vous pouvez le constater, il avait toutes les mimiques d'un futur champion d'équipe du lycée quand il sera plus grand. Enfin pour l'instant c'était pas quelques choses à penser parce que à quatre ans le lycée est encore à un bon bout.
Il regarda son papa, et fit voir ses petits muscles pour montrer qu'il était le plus fort, parce qu'il avait marquer un panier. Il était vraiment mignon à voir sur le terrain fier de ce qu'il venait de faire quelques minutes avant. C'est vrai que des paniers, il en marque tout le temps, à chaque match qu'il vient effectuer ici avec son parrain Lucas et son oncle Skills mais là ce n'était pas vraiment pour cela qu'il était fier, il était tout simplemenjt heureux d'avoir marquer le panier devant le regard de son papa et ça c'est quelques choses que Jamie Jam voulait lui montrer depuis maintenant quatre mois, mais hélas il n'avait jamais pu le faire, à cause de la dépression de celui ci, qui l'empêcher litéralement de jouer au basket et même de ne toucher à aucun ballon. Enfin bref, comme Jamie doit le faire, c'est du passé et tout cela avait changer maintenant et il était vraiment le petit garçon de quatre ans le plus heureux de la terre en ce moment même.
Jamie se mit à rire quand il entendit que son papa lui dit qu'il était même meilleure que son parrain. C'est vrai ? Oh alors là, les matchs allaient être plus facile si ça en était le cas. Il lui répondit donc avant d'écouter la suite de la phrase de son papa profitant du petit silence pour le combler de ses petits mots :

Oh !! Je suis le plus fort du monde, de la terre entière, je suis même plus fort que Tony Parker !!! Youhou !! Je vais devenir une star paounet, une star du basketball et des filles aussi ! Comme toi !

Une fois avoir dit ces quelques mots, il essaya de faire un clin d'oeil à son papa mais il faut dire que celui là n'était pas vraiment réussi, il avait fermer les deux yeux enfin bref il avait essayer c'était déjà ça. Au moment où il entendit la suite de sa phrase et son papa souffler en parlant de sa maman, il monta comme il le put sur les genoux de son papa, puis quand il fut arriver où il le voulait il le prit dans ses petits bras avant de pouvoir lui dire :

Je sais que ça ne va pas très beaucoup entre maman et papounet. Et ze veux vraiment savoir pourquoi . C'est à cause de maman Carrie ? Euh de nounou Carrie ?